Description :
- Nombre de pièces : 1000 pièces
- Affiche de ALO : Sarlat, l'Hôtel de Vassal
- Boîte carton de format 33,5 x 23 x 4,5 cm
- Format final du puzzle : 68 x 48 cm
Charles-Jean Hallo dit ALO (1882-1969)
Charles Hallo passa son enfance à Dijon et entra à l’École des Beaux-Arts locale. Il poursuivit ses études à l’École des Beaux-Arts de Paris, et devint aquafortiste. Medium qu’il exposa dès 1907 au salon annuel de la Société Nationale des Beaux-Arts.
Mobilisé dans l’infanterie en 1914 puis rapidement affecté dans l’observation par les airs, il devint l’un des pionniers de la photographie aérienne.
En 1920, il s’installa à Senlis où il aménagea son atelier. Il devint xylographe et illustra de nombreux ouvrages, et fonda le musée de la Vènerie. Parallèlement, il fut affichiste pour les compagnies de chemin de fer avec pour signature « ALO », à l’image de celle présentée ici.
Sarlat: L’Hôtel de Vassal
Il fait face à l’hôtel Plamon et ses magnifiques arcades, et ferme, au nord, la place du marché aux oies, connu aujourd’hui pour ses sculptures de Lalanne. Cet édifice du XVème siècle entièrement classé au titre des Monuments Historiques est constitué de deux corps de bâtiment en équerre : le corps de logis lui-même percé de fenêtres à meneaux, et une imposante tour d’escalier avançant largement sur la place.
Pour anoblir l’hôtel particulier, et en contraste avec l’aspect massif et austère de la tour, une tourelle jumelée, en encorbellement, a été aménagée dans l’angle, créant une sorte de corridor permettant de relier l’escalier à certaines salles sans avoir à en traverser d’autres. La double tourelle évoque l’échauguette d’un château-fort, non comme partie d’un système défensif, mais comme décor d’architecture et surtout comme symbole de noblesse.
En effet, les Vassal, propriétaires des lieux, forment une grande famille noble d’origine militaire (originaire du Quercy). En 1586, Jean de Vassal défend les catholiques et lève un régiment de cavalerie à cet effet.
Aujourd’hui, ce monument abrite le Musée de la Truffe de Sarlat, grâce auquel la quasi intégralité du lieu se visite, jusqu’aux combles couverts de lauzes.